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22/10/2014

Parlementaires en "délicatesse" avec le fisc : danger

Et revoilà nos élu(e)s parlementaires sous les projecteurs de l'actualité médiatique et dans le collimateur du fisc.... Le "syndrome Thévenoud" frappe de nouveau.

Ils sont en effet 66 élus députés ou sénateurs à voir leur patrimoine scruté par les services fiscaux et la liste des noms devrait apparaître d'ici la fin de l'année pour certains d'entre eux.

 

Si la transparence et l'intégrité sont de mise sous le drapeau Républicain et si plus de 90% de nos parlementaires sont "clean", cette initiative du fisc est un signal fort à l'heure ou le simple citoyen bénéficie lui aussi d'un certain "régime fiscal"... !

Cette mise au point était nécessaire, cependant...

 

...cependant, il convient tout de même de s'étonner sur cette opération "mains propres" à la Française, opération bien orchestrée à l'heure ou les difficultés s'accumulent pour le gouvernement et ou les résultats économiques sont désastreux, pour ne pas dire pitoyables.

Une réforme Institutionnelle en profondeur serait plutôt la bienvenue avec, à l'ordre du jour, une drastique diminution du nombre des députés et des sénateurs, un alignement de leur régime de retraite sur le régime général, sans parler de la révision nécessaire d'un certain nombre d'avantages qui les éloignent trop de la dure réalité quotidienne de nos concitoyens...

 

A NOUS CITOYENS, nous y travaillons...sans démagogie, ni idéologie !

Thierry VIMAL

28/09/2014

Amélioration du cadre de vie : engagement N°3 du maire

Dans le catalogue des "12 engagements" pris lors de sa campagne en mars dernier, le Maire s'engageait à "AMELIORER ENCORE NOTRE CADRE DE VIE" (engagement N°3).

En seconde place de ce point on peut encore lire : "une ville encore plus propre" et "accentuer la lutte contre les déjections canines + inciter les commerçants à mettre à disposition de leurs clients des cendriers de rue".

 

Six mois après, qu'en est-il vraiment ? Zéro pointé.

 

De l'avis d'un très grand nombre de citoyens de Saint-Maurice, rien ne change, pis, le phénomène de saleté s'amplifie !

val de marne,saint-maurice,saleté,déjection,promesse,pétition

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Le fameux "train de nettoyage" coûteux, bruyant et largement décrié par les habitants s'avère inutile sauf pour les pas de portes des commerçants inondés et les bas de caisse des véhicules...Le Maire devait faire une évaluation annoncée lors d'un conseil municipal...

Rien ne sert de balancer de l'eau sans frotter, l'eau de pluie suffit !!!

 

Alors, quelle solution est apportée par la "fraîche" équipe nouvellement installée, dont le renouvellement pouvait laisser croire à des "idées novatrices". AUCUNE.

 

Résultat, le citoyen piéton circule, non, il slalome de rue en rue, en essayant d'éviter les latrines à ciel ouvert, les déjections abandonnées ça et là par quelques individus propriétaires de chiens non scrupuleux, qui n'ont, pour la très grandes majorité, que faire des écoliers, des personnes âgées, des commerçants. 

Côté mégots de cigarette, pas mieux...

 

Bref ! Rien à faire de leur Commune et du simple respect d'autrui !

 

Puisque le "laisser-aller" prédomine, puisque la Gouvernance préfère depuis tant d'années, communiquer et développer les "Toutounets" (qui finissent comme sac de poubelles dans les cuisines ou caves de la ménagère...), sans doute le temps est-il venu de rappeler leurs obligations à nos élu(e)s...

 

A bientôt,

Thierry VIMAL

 

 

 

25/09/2014

NOUS CITOYENS : Lettre ouverte du Président

Voici la lettre ouverte de Jean-Marie CAVADA, nouvellement élu à la tête du mouvement "NOUS CITOYENS".

 

Cher(e)s ami(e)s,

 

Rassemblés au sein de Nous Citoyens, nous voulons de toutes nos forces redresser notre pays par des réformes en rupture avec trente années de renoncement. Portées par votre énergie, débattues partout dans nos régions, nous voulons communément retrouver une France qui nous ressemble et nous rassemble.

 

Notre mouvement a ouvert la voie à une pensée et à une action hors des conformismes, hors des partis traditionnels que l’on a vus englués dans les marais des sondages de popularité, de la fascination pour les médias, et de l’égotisme des carrières politiques.

 

Depuis deux semaines, j’écoute et constate avec évidence : je me suis coulé dans la trajectoire d’un mouvement de moins d’un an et qui a réussi à soulever la volonté individuelle dans une démarche collective, initiée par Denis Payre et quelques-uns, que la Vème République n’a pas encore connue. Je suis maintenant totalement des vôtres, et n’en changerai plus.

 

Pourquoi cette translation m’est–elle si facile ? Parce que j’ai passé plusieurs décennies à ausculter la société française dans mon travail de journaliste ou de patron d’entreprise media. Je connais, comprends, et approuve la force de vos désirs de changement. D’une certaine manière, je l’attends depuis longtemps. C’est sans doute pourquoi Denis Payre, qui s’est engagé à rester à nos côtés, est venu me chercher pour cette nouvelle étape qui doit structurer, développer, et imposer le « mouvement politique » que nous constituons. Car si nous sommes bien juridiquement un parti politique qui entend peser sur l’avenir de notre pays en présentant des candidats aux principales élections, je tiens à cette dénomination choisie par les fondateurs : « Mouvement » parce que volonté de rassembler plusieurs familles de pensées, « politique » parce que nous prétendons nous lever pour donner un avenir aux jeunes et à leurs familles. Les pays qui effectuent leurs réformes revivent, les autres s’enfoncent.

 

Que doit-être cette 2ème étape de la croissance de Nous citoyens ? D’abord il s’agit de structurer le mouvement, grâce à un cadre débattu puis accepté par tous et où la voie des régions doit être d’autant plus forte que je ne suis pas jacobin.

 

J’aurai donc l’occasion très prochainement de vous proposer une organisation et des principes de gouvernance dont je peux déjà esquisser dans son ampleur future les grandes lignes : un exécutif ou direction collégiale, avec une meilleure présence de femmes et des régions, un parlement pour que la voix des adhérents pèse de son poids sur les grandes décisions et orientations, et une instance d’arbitrage en cas de conflits ou de convoitises.

 

Mais nous devons également et en parallèle poursuivre nos actions de construction d’un programme radical de réforme du pays en associant nos adhérents. Je partage totalement le travail réalisé jusque-là et j’apporterai mon expérience pour compléter et accélérer la diffusion de nos propositions. Notre objectif à moyen terme reste le même: peser en 2017 durant la campagne des présidentielles et des législatives où nous présenterons nos idées, et si nécessaire nos candidats si cela s’avère être la meilleure façon de faire changer notre pays.

 

Pour faire avancer notre ambition collective caractérisée par le refus du déclin et se consacrer à l’organisation d’un meilleur destin, il faut lutter contre le carriérisme politique, travailler sur les idées, et fixer comme règle première une rigueur indiscutable.
J’ai donc décidé de couper toute attache avec les partis politiques de notre pays, je ne suis en particulier plus membre de l’UDI, et de n’être personnellement candidat à aucune, je dis bien aucune, élection.

 

Je veux consacrer mon énergie à développer Nous Citoyens, selon les méthodes modernes que les grandes démocraties ont imposées à leurs partis. Le président n’ambitionne aucun poste électoral dans son pays. Il guide les choix, écoute les femmes et les hommes qui s’engagent au nom d’une éthique, il va chercher les idées nouvelles qui engagent demain, et contribue à faire émerger les talents au service du mouvement et de la France. Je vous aiderai à consolider notre force collective, et veillerai à l’unité de l’action de chacun des militants.

 

Si je laissais parler mon cœur, je dirais ceci : le lundi 15 septembre au soir, je me suis présenté aux sympathisants, militants, adhérents, réunis à Rueil-Malmaison dans une salle que les responsables de Nous Citoyens 92 avaient remplie à craquer. J’en suis ressorti « baptisé », déterminé, et très admiratif de votre conviction de faire changer le destin de notre pays.

 

Nous sommes 12 000 adhérents : c’est un exploit en moins d’un an. Mais devant le triste spectacle de la politique (qui pourtant devrait être noble surtout quand le pays est en grand danger), je voudrais vous demander de donner sereinement mais fermement une leçon qui va changer la portée de votre travail, et de notre voix. En effet, si chacun d’entre vous convainc seulement une autre personne, avant Noël, alors nous serons dans 3 mois 24 000. Alors aussi, nous leur montrerons de quel élan civique nous sommes capables pour dessiner le destin auquel ils semblent avoir renoncé.

 

Nous voici donc liés, désormais, par une même ardeur !

 

Jean-Marie Cavada
Président

Nous Citoyens